le coeur

La mort encéphalique c'est la destruction totale du cerveau qui a été provoqué par le gorgement d'eau des neurones: ce qui empêche le sang d'irriguer le cerveau qui meurt en quelques heures.
Mais après ça le coeur (il n'est pas sous control du cerveau) continue à battre alors que le cerveau est mort. C'est le cerveau qui controle la respiration et donc l'apport en oxygene pour TOUS les organes du corps sans exception possible. Mais quand un organe manque de dioxygène (quelque soit sa fonction dans le corps) les cellules qui compose les tissue meurt et c'est valable pour le coeur. Alors sans l'apport de dioxygène par le sang causé par la mort encéphalique comment le coeur fait il pour continuer à battre ?

Dans le cas de la mort encéphalique, le coeur meurt par asphyxie puisque le cerveau ne commande plus les muscles respiratoires et que le sang ne se recharge plus en dioxygène. Le corps de la personne en état de mort encéphalique est maintenu artificiellement en vie par des appareils respiratoires qui permettent une alimentation du sang (et donc du coeur) en dioxygène. Il ne faut pas confondre avec le coma, où la partie de cerveau qui commande les muscles respiratoires n'est pas détruite.

Normalement un infarctus c'est quand une artère du coeur est bouchée par un dépot d'atérome (de la graisse) ce qui empêche le sang de circuler et d'irriguer le coeur . Mais comment de la graisse peut elle se retrouver dans le sang alors que quand les acides gras sont séparé et traité comme il se doit ils sont transporté par la lymphe?
Pourquoi c'est toujours le coeur qui doit "faire les frais" d'un manque de sport ?

Si une personne a une alimentation trop riche en graisse, le sang en contient en grande quantité et quelques molécules peuvent se fixer sur la paroi des vaisseaux sanguins. Au bout de quelques années, on obtient une masse suffisamment importante pour obturer un vaisseau sanguin. Cela peut arriver dans n'importe quel organe, mais c'est vrai qu'au niveau du coeur ou du cerveau les conséquences sont souvent dramatiques.